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Dire aurevoir...

Dans les formations au départ, on vous demande de réfléchir sur quoi vous allez devoir lâcher-prise... C'était nettement plus simple de partir à 19 ans et de laisser l'amour derrière moi que de partir à 30 ans et de laisser ma bande d'ami-e-s et d'amies derrière moi.

Entre 2015 et 2020, une espèce de tornade émotionnelle s'est abattue sur ma vie et m'a laissé seule, fatiguée entrain de me noyer. Et, c'est dans cette même période que de valeureux matelots m'ont embarqué dans leur vie et m'ont emmené dans des univers fantasques et incroyables. Dans cette bande, il y'en a plutôt quatre... celle du bataillon de la Cohésion sociale (ou mon équipe de travail), celle des imprévisibles joyeux et intrépides faméliques (les ami-e-s), celle des joyeux dauphins de splash (équipe de la piscine de sport handicap) et celle des faiseurs de rêves et des traducteur des situations sociales (troupe de théâtre Silex) . Sans eux, je serais probablement échouée sur une île desserte seule et acariâtre. Alors... leur dire aurevoir... pfiu...


Avant de dire au revoir aux gens qui m'entourent, il a également été nécessaire de dire au revoir aux jeunes de la Vallée du Trient avec trois fêtes de départ et la présence inattendue d'une vingtaine de jeunes à chaque soirée et un nombre incalculables de messages.


Dire aurevoir à la bande de la Cohésion Sociale, c'était l'occasion de putasser les bureaux pour bien rigoler !








Puis, il fallait organiser une fête pour réunir toutes les bandes de gens qui m'entourent. Présenter le projet, manger une dernière raclette, boire un peu trop et rire beaucoup !













Et se rendre à quel point, je suis entourée de gens formidables ! Et rentrer chez moi au lever du soleil pour... voir la vengeance de mes collègues ! Oui, il m'ont fait ma fête pendant ma fête de départ...


































Quelques jours, pour faire le tour des personnes à qui je n'ai pas pu dire aurevoir. Se séparer des dernières affaires pas vraiment nécessaire... Faire un test Covid et dire aurevoir à ma famille... un petit adieu difficile avec mes nièces et mon neveu que je ne vais pas voir grandir autant que ce que j'aimerais... Et hop... la mochilla sur les épaules et c'est parti... en route vers le Costa Rica... oui oui... d'abord le Costa Rica...


Un grand MERCI à toutes ces présences indispensables à ma vie et qui m'ont permis de mettre mon sac sur le dos sereinement !






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